Intérêts personnels

                                                                                                        

 

                                                                                                                                    

                                                                                  

 

 

                                                                                                

         

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                                           

 

 

 

* 

     

 Que fais-je lorsque mon métier de comédienne

me laisse

du temps libre 

     

* 

 

 

 

 

 

Autodidacte en matière d’informatique depuis le printemps 2002, j’ai découvert le bonheur d’une créativité

accélérée par la machine.

Bonheur également de pouvoir faire partager mes élans créatifs, par la voie magique de l’e-mail et maintenant  en ouverture directe sur le world wide web….

 

Mon attrait pour la communication, mon gout de l’image et du son, mon caractère enthousiaste et  positif  transparaîssent dans ce site, reflet de moi-même, dont  la visite j’espère, vous procurera un agréable surf.

 

 

 

 

 

 

 

 

                 Mes écrits

 

 

1995-1996

 

 

 

 

 

         

Une rubrique placée dans les intérêts personnels dans la mesure ou aucune utilisation commerciale n’en a été encore faite à ce jour.

 

 

Zone de Texte: ‘ Le cochon de Corrèze

 ou 
une journée chez les Ottre’

(Roman d’humour)



extraits

 

 

Une aventure d’une gigantesque stupidité et d’une drôlerie (dixit certains lecteurs ) « à pisser de rire ».

Histoire où tout tourne autour du regard  cruel, tendre et cocasse d’une « Connasse de Parisienne » sur un village Corrézien pris dans la tourmente d’un cochon tombé sur ceux qui s’apprêtaient à le tuer.

Une récit qui se lit comme un scénario bourré de flash-backs.

Ecrit pour le plaisir du jeu avec les mots : leur esthétique, leurs dysharmonies.

Ecrit avec l’envie de faire partager les folles crises de rire, entre  Patrice Laval et moi, à partir de délires imaginatifs basés sur des personnages réels et (…parfois) des histoires vraies…

 

 

                                                    

                                                          

Les Noces à Cathy’

*Comédie parleuse parlante

       

                                    *

                                 

Testée en 1999 à l’école Florent,

 où elle a reçu un accueil

très favorable du public

 

                    

extraits

 

 

 

 

 

 

 

Condensé d’un volume plus épais ‘Des gens qui parlent’.

Ecrit à la suite du précédent, dans l’optique de créer quelque chose de différent, une sorte de casse-tête pour  metteur en scène (je ne soupçonnais pas que j’en serai la première « victime » !!!)

Histoire d’une bouchère qui débarque impromptuement, avec ses 400 invités, chez des amis pour y marier sa fille. Une succession de catastrophes et de bavardages s’ensuit…

 

 

 

 

                               Tour d'horizon

 

 

 

    J’ai été fan :

 

 

 

 

 

 

Enfance en Corrèze jusqu’à 18 ans.

 

Bac littéraire en 1984 (passé deux fois à  cause d’un 0 en maths la première *  !!!!) … Dessiner des boules de couleurs ou des graphiques : pas de problèmes ! Les calculer…  fffff….                              

                                                   

Facs de psychologie et de réalisation

audio-visuelle à Toulouse jusqu’en 1989.

 

Octobre 1989 arrivée à  Paris, pour

La Grande Aventure, avec mon ami  d’enfance Patrice Laval.

 

 

                            

« Le club des 5 », d‘Enid Blyton,où j’adorais le côté vif et débrouillard de Claude, la meneuse du groupe.

 

« Alice Roy détective » de Caroline Quine, pour le côté ingénieux de ses enquêtes.

 

Mes abonnements aux magazines Disney :

« Mickey et Picsou ».

 

Vers 15 ans, découverte du premier livre qui m’émerveille réellement par la beauté et la force poétique de son ambiance :

« Chroniques Martiennes » de Ray Bradbury.

 

Le second flash de la catégorie « dépaysement magique » (vers 35 ans) :

« Harry Potter », de Joanne K. Rowling

 

«Alfred Hitchcock par François Truffaut »

ouvrage passionné et passionnant sur le

travail du maître du suspense.

 

« Techniques de visualisation créatrice »,

de Shakti Gawain.

Méthode appliquée de pensée positive.

 

     

Le cinéma d’Hitchcock, pour sa précision d’horlogerie Suisse.

 

Les films de Jacques Tati, pour leur humour et leur foisonnement des détails sonores.

 

« Le Territoire », de Raoul Ruiz ,d’une étrange beauté de lumières,sur fond  inquiétant de cannibalisme contemporain.

(Etait-ce « le Territoire »??? …).Film en tout cas, dont on ressort avec le regard encore tout exalté.

 

« La Rose pourpre du Caire » de Woody Allen, pour la magie de la traversée de l’écran.

 

« Les aîles du désir » de Wim Wenders, pour l’aperçu d’une autre dimension.

 

« La vie est un long fleuve tranquille », d’Etienne Chatiliez pour son humour caustique sur  l’entrechoc social.

 

«Le Père Noël est une ordure» et :

« Les frères pétard »

«Viens chez moi j’habite chez une copine»

« Une époque  formidable » etc… de Josiane Balasko,  pour leur indéniable drôlerie.

 

 

 

 

 

 

 Et aussi :

 

 

 

 

Les Rita Mitsouko, pour la vivacité positive qu’ils ont  véhiculée sur la scène rock Française au fil des ans.

Ecouter mini-compils

 

Les Négresses Vertes (du vivant d’Elno), pour le mariage des cultures musicales et la gouaille populaire du style.

Ecouter mini-compil 

 

Bobby Lapointe, pour ses jeux de mots laids.

Ecouter mini-compil

  

Salvador Dali, pour le génie de son œuvre et l’immense régal de la visite de son musée de Figueras.

http://www.salvador-dali.org/

 

Maurits Cornélius Escher, pour son fabuleux travail de déjouement de la perception .

http://www.mcescher.com/

 

 

 

 

 

 

 

 

Pensées:

 

                     

 

                    

 

 

 

 

 

 

 

L’ennui le plus mortifère dans une salle de cinéma :

 

 « Agatha ou les rêves illimités » de Marguerite Duras.

 

Certitude de sentir la structure du fauteuil vous meurtrir le corps…

Assurance garantie de fausses joies de voir arriver le mot

« FIN ».

 

 

 

 

 

 

 

 

Second film ou le fauteuil s’est rappelé ,(un peu moins, mais quand même !), à mon souvenir, d’autant plus que j’y avais entraîné mon père de mauvais gré :

 « Rêve de singe » , ou « Max » ???

avec Charlotte Rampling et  Michaël Lonsdale.

Eééétraaaaaaaaange….. 

 

 

 

 

      

           

 

 

Le concert aux ondes tellement négatives que je me suis trouvée mal :

Hubert-Félix Thiefaine                            

 

Le concert dans un lieu trop étroit (trop de mouvements de foule) : James Brown, Place de La République à Paris.

   

 

 

          * Le concert où j’ai ri de me voir faire la ‘ola’ dans un stade : *

                                        U2 au Parc des Princes.

 

 

 

 

*   

Le livre éponge : l’histoire la plus tragiquement triste que j’ai lue.

« La Douleur », de … Marguerite Duras (… encore !…)

 

Est bien triste aussi :

« Cyrano de Bergerac », d’Edmond Rostand . Agaçant jusqu’au trois-quart de l’histoire, avec une fin triiiiiiiiste.

(Merci à Pascal Légitimus de m’avoir auditionnée sur ce texte.)

 

Le livre le plus abject :

« Pompes Funèbres », de Jean Genêt.

 

Le film le plus abject et triste :

Les infos télévisées.

 

 

 

 

 

  Mon mot d’ordre :

 

 

 

     RESTER POSITIFS ET CONFIANTS EN TOUTES CIRCONSTANCES

 

 

 

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